L’entrisme : le super-pouvoir de la pseudo-écologie
Comme toutes les idéologies, la pseudo-écologies a un pouvoir particulier: l’entrisme. Elle peut infiltrer n’importe quel institution sans contrôle réglementaire: pas de déclaration d’intérêt, rien. Néanmoins, pas comme toutes les idéologies, la pseudo-écologie a d’autres qualités qui la rendent redoutables:
- Elle est peu connue en tant que telle et n’a pas ou peu de stigmates sociaux.
- Elle est parfaitement compatible avec une vie normale et peut facilement prendre les dehors d’une simple conscience écologique.
- Elle est soutenu par tout un écosystème d’entrepreneurs déterminés et des intérêts financiers gigantesques.
La combinaison de ces forces font de la pseudo-écologie une menace grave pour les institutions. L
L’entrisme explicite: dévoyer les postes élus
Parmi ces capacités, on peut compter:
- Influencer la politique énergétique de la France
- L’utilisation des pouvoirs discrétionnaires pour avoir un pouvoir de facto réglementaire.
C’est l’un des moyens de l’influence réglementaire.
Voici un exemple parfait:
« il y a 6 ans il y a marqué une nouvelle étape dans cette lutte contre les bassines puisque en Deux-Sèvres il y avait déjà un projet qui était sur la table depuis plusieurs années et qui était bloqué politiquement à l’époque par le Conseil Régional tenu ici par Ségolène Royal et avec surtout dans la commission agriculture des camarades qui sont encore aujourd’hui dans la lutte tel que Benoît Biteau ou Serge Morin et qui avait tout de suite réussi à imposer que s’il y avait financement régional c’était forcément pour aller vers une réelle sobriété, pas la sobriété à la Macron. Et donc comme tous les projets allaient dans le sens d’une augmentation, la région a réussi à ne jamais financer ces projets-là. »
Julien Le Guet, cité ici : https://pseudo-ecologie.fr/militant-anti-bassine-julien-le-guet-exemple-du-consumerisme-ideologique/