Autoritarisme : un reproche récurrent aux ennemis de la pseudo-écologie
Les pseudo-écologistes vont souvent accuser leurs ennemis d’être autoritaires et/ou de ne pas dialoguer.
Ce leitmotiv se traduit dans l’accusation d’être « d’extrême droite » dans la mythologie pseudo-écologiste.
L’accusation d’autoritarisme
Dans la désinformation anti-nucléaire, on a notamment vu avancé l’argument que cette énergie serait « anti-démocratique ».
L’accusation de refuser le dialogue
Les pseudo-écologistes vont souvent accuser leurs ennemis de refuser le dialogue. On l’a notamment vu autour de la désinformation anti-nucléaire et anti-bassine.
En réalité, pour les pseudo-écologistes, ce « dialogue » est juste un pouvoir de nuisance de plus qu’il réclament, un « quelque chose » qui va légitimer leur action vis-à-vis du public (« nous sommes les interlocuteurs des autorités ») et leur permettre de construire plus de narratifs.