Les réactions au 7 octobre 2023 et ce qu’elles nous disent de la pseudo-écologie

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En écrivant sur la pseudo-écologie, je me suis souvent demandé: jusqu’où pourront-ils aller ? En effet, le cœur de ce système est la création d’une emprise par manipulation: il s’agit de couper les gens de la réalité et d’y substituer un discours qu’on contrôle. Les réponses au 7 octobre 2023 par la pseudo-écologie (LFI et, dans une moindre mesure EELV) nous a donné une réponse terrifiante à cette question.

Rappel des faits

Le 7 octobre 2023, le Hamas a lancé une attaque, accompagnés par des « civils » palestiniens, ciblant les civil israéliens. Les exactions commises ont été innommables, atteignant de sommets de cruauté.

Cela n’a pas empêché de nombreuses réactions occidentales de soutenir l’initiative, certaines allant même jusqu’à présenter sous des airs héroïques les monstres. Un de leurs signes de ralliement étant des dessins des terroristes en parapente ayant fondu sur un festival « pour la paix » proche de la frontière, massacrant et violant des centaines de festivaliers …

Nous avons déjà abordé les premières réponses dans l’article ci-contre. Néanmoins, j’ai pris connaissance de nouveaux éléments qui construisent une perspective globale solide, qui devrait être adoptée plus largement, mettant en évidence des dynamiques extrêmement dangereuses pour la société ouverte.

Par la suite, le Hamas n’a eu de cesse de réaffirmer sa volonté de répéter le massacre, de détruire Israël et même de conquérir le monde entier (exemple).

Des allégations qui interrogent

L’apartheid ?

Israël est souvent accusé d’être un pays d’apartheid. Or, Israël est un état multiculturel: 25% de sa population est arabe. En outre, même des palestiniens travaillent en Israël.

A l’inverse, aucun juif à Gaza … Et extrêmement peu dans tous les pays arabes.

Gaza affamé ?

Gaza est présenté comme affamé. Ainsi dans cet article de Reuters :

Le Dr Fathi Abu al-Hassan, titulaire d’un passeport américain attendant de pouvoir entrer en Égypte, a décrit les conditions infernales à Gaza, sans eau, sans nourriture ni abri.

« Nous ouvrons les yeux sur les morts et nous fermons les yeux sur les morts », a-t-il déclaré en attendant de passer la frontière égyptienne.

« Si cela se produisait dans un autre pays… même dans le désert, (les gens) s’uniraient pour (nous aider) », a-t-il déclaré.

https://www.reuters.com/world/middle-east/israeli-military-jets-strike-gaza-camp-says-hamas-commander-killed-2023-11-01/

Or, on trouve des commerces de luxe, des centres commerciaux à Gaza. Sur TripAdvisor, vous pouvez même voir les hôtels de luxe les mieux noté. Pas vraiment un ghetto … Surtout, les leaders du Hamas seraient eux-même milliardaires. Est-ce que ce n’est pas, surtout, un problème de gouvernement interne ? Peut-être que le leadership islamiste n’aime pas beaucoup partager ? Nous y reviendrons.

Gaza massacré ?

Un autre indicateur de l’oppression israélienne serait la comparaison entre le nombre de victimes palestiniennes comparées au nombre de victimes israéliennes, reproduit ci-contre.

La malhonnêteté est évidente: c’est la stratégie du Hamas de gonfler ces statistiques en envoyant le plus de monde au casse-pipe et en se cachant derrière la population civile. Ils ont une réserve infinie de soldats et ciblent la population civile, alors que les israéliens préservent leur armée de métier et tentent de ne pas toucher la population civile.

Notez enfin que la seule attaque du 7 octobre changerait radicalement l’allure de ce graphique, le Hamas ayant brutalement assassiné de l’ordre de 1400 civils.

C’est une propagande ancienne. Les Guignols de l’info ont ainsi fait un sketch en 2014 prétendant que l’armée israélienne s’amusait à commettre des exactions à gaza (ref).

Génocide ?

On a entendu, à plusieurs reprises, l’accusation de génocide contre les palestiniens. L’évocation peut être implicite, avec l’utilisation du hashtag « #Genocide_in_Gaza ». Exemples:

Elle est parfois explicite. Voici quelques exemples de « twittos » ordinaires (1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6). Des cadres LFI ont sauté le pas et eu des allégations délirantes. Ainsi, David Guiraud a déclaré :

Non, Israël ne se défend pas, ne se venge pas, Israël met en place un plan réfléchi, conscient, de nettoyage ethnique à Gaza et d’anéantissement de la population palestinienne. C’est pour cette raison qu’il bombarde les hôpitaux, les églises, les mosquées

https://twitter.com/Linfo24_7/status/1720711981819109517

Dans la même veine, Ersilia Soudais a déclaré :

Les bureaux de l’#AFP à #Gaza ont été bombardés pour que le nettoyage ethnique se fasse sans qu’on puisse le documenter.
Le gouvernement français ferme les yeux.
Doit-on n’être Charlie que pour s’en prendre aux musulmans ?

https://twitter.com/ErsiliaSoudais/status/1720456193393430621

Edwy Plenel reprenait encore les propos de Yanis Varoufakis:

« Jusqu’où doit aller le nettoyage ethnique des Palestiniens par Israël avant que notre responsabilité collective tout à fait justifiée à l’égard de l’Holocauste (en tant qu’Européens) ne nous empêche plus de faire face au nettoyage ethnique des Palestiniens par Israël ? »

https://twitter.com/GastonCremieux/status/1720913708543610930

Plus largement, cela s’inscrit dans la suite des accusations pour l’État juif d’être « comme les nazis ». Un « fameux » humoriste de France Inter, Guillaume Meurice, a ainsi présenté le dirigeant israéliens sous les traits d’Hitler.

C’est également l’élément de langage promu par le Hamas, selon lequel « le bombardement de Gaza est le nouvel holocauste« .

La courbe de population, ci-contre, dit néanmoins une autre histoire …

https://twitter.com/chocapicjew/status/1720412363105443871

« Pro-palestiniens »: le paravent des alliés du Hamas

La réaction anti-israélienne se prétend « pro-palestinienne ». Néanmoins plusieurs éléments remettent en question cette prétention.

Une population exploitée

Le Hamas exploite les palestiniens. Cela passe par différents moyens:

  • Le conditionnement, dès le plus jeune âge, pour servir l’organisation.
  • La captation d’aides internationales.
  • L’utilisation comme boucliers humains.

Le conditionnement: produire de la chair à canon

Le Hamas peut utiliser les structures éducatives pour conditionner les enfants dès le plus jeune âge.

L’intérêt est triple:

  • cela prépare la main d’œuvre future;
  • convaincre les enfants de s’engager, c’est obtenir des boucliers humains mobiles et volontaire d’une qualité extraordinaire;
  • cela permet de capter des aides internationales sous couvert d’éducation.

On peut voir cette empreinte dans la participation des palestiniens aux atrocités du 7 octobre, dans leur traitement des otages, ainsi que dans la foule se pressant pour voir une projection des atrocités commises [rq: visiblement, il y a de l’électricité pour ça …].

Les aides internationales

Il n’y a aucune barrière au fait, pour le Hamas, de capter les aides, que ce soit en fournissant des « services » aux associations ou en utilisant des associations écran. Par exemple, Yasmine Znaidi, une française, utilisait une association se prétendant humanitaire, « Perle d’espoir », pour financer des groupes djihadistes. Les fonds auraient été « distribués à des familles choisies par ces groupes terroristes, renforçant ainsi leur emprise sur la population ». Elle a été condamnée à 6 ans de prison et était recherchée. Ses deux fils viennent d’ailleurs de mourir à Gaza, lors d’une frappe ciblant un commandant du Hamas.

Dans cette veine, le Hamas a notamment utilisé les tuyaux du réseau d’eau, financé par l’aide internationale, pour construire des roquettes et s’en est vanté dans une vidéo promotionnelle.

L’utilisation principale: des boucliers humains

C’est un lieu commun de rappeler que le Hamas utilise la population civile comme bouclier. Toutefois, c’est rarement précisé, pouvant laisser penser que ce serait une sorte d’exagération militante. C’est pourtant une réalité tragique. On l’a vu notamment ressortir de :

Cette logique du bouclier humain a même été appliquée directement, le Hamas ayant envoyé femmes et enfants en première ligne lors d’une bataille avec les forces israéliennes.

Plus largement, l’utilisation de tunnels souterrains dans tout Gaza City utilise la ville comme bouclier.

Il ressort de cela que les palestiniens sont comme du bétail pour le Hamas. François Camé suggère même que l’attaque du Hamas puisse avoir été motivée par la volonté de « sacrifier » Gaza, qui serait devenu intenable: « Il est même possible que le Hamas ait choisi de sacrifier Gaza sans regrets… car il savait ne plus pouvoir y résister longtemps« . Le Hamas semble effectivement y être peu populaire.

L’oppression politique du Hamas

Tout d’abord, le Hamas oppresse la population palestinienne. Ce qui est assez logique pour un mouvement prônant une politique théocratique et totalitaire.

Cela ressort notamment d’un rapport d’Amnesty International de 2014, décrivant les exactions et, encore, la cruauté commises par les forces du Hamas, qui ont « mené une campagne brutale d’enlèvements, d’actes de torture et d’homicides illégaux contre des Palestiniens accusés d’avoir « collaboré » avec Israël et d’autres, durant l’offensive militaire israélienne contre Gaza en juillet et août 2014« . Cela impliquait notamment des exécutions publiques. Une des victimes a été rendue à sa famille dans un étant désastreux, avec les os cassés et le crane défoncé.

La population Gazaouie a d’ailleurs plusieurs fois manifesté son consentement, mais a chaque fois été écrasée.

Une population isolée

Enfin, on peut se demander pourquoi les pays arabes environnants ne veulent pas accueillir la population palestinienne. C’est que les actions militantes, non seulement du Hamas mais des organisations terroristes palestiniennes en général ont laissé les palestiniens isolés.

En effet, elles ont causé des troubles graves dans tous les pays environnant, notamment en Jordanie, où elles ont tué le premier ministre, et au Liban.

Maintenant, plus aucun pays arabe ne veut d’eux.

Notez que cette logique a aussi été exploitée avec profit par les talibans. Ces derniers semblent s’être joint aux émigrés Afghans ayant fui le régime et commis des attentats dans leur pays d’accueil, le Pakistan. En représailles, ce dernier a expulsé la diaspora immense, 1,7 millions d’afghans, qui y avaient trouvé refuge.

C’est une logique importante de la manipulation: isoler sa cible.

Les soutiens du Hamas

Il y a de nombreux moyens par lesquels les individus et organisations du monde entier soutiennent le Hamas. La principale sera d’agglomérer le parasite, le Hamas, à son hôte, les palestiniens, la propagande empêche de s’attaquer au premier et de résoudre le vrai problème des palestiniens. Je ne vais pas toutes les détailler: il y a une myriade de stratégies élaborées de soutien au Hamas.

En effet, il s’agit d’une organisation terroriste et la soutenir explicitement serait évidemment impossible pour beaucoup d’organisations. Elles contournent néanmoins cette difficulté avec une inventivité infinie. Nous allons néanmoins en présenter quelques-unes: le refus de qualifier le Hamas de terroriste et la participations aux manifestations aux côtés des islamistes. J’aurais aimé parler de l’asymétrie dans le traitement de l’information (ex: la reprise des chiffres du Hamas, la désinfo sur le bombardement d’un hôpital, l’absence de réaction face aux bombardements du Hamas de crèches et d’hopitaux, l’absence de réactions face à tous le conflits n’impliquant pas Israël …), mais cela demanderait un livre.

Le refus du qualificatif de terrorisme

Plusieurs acteurs ont refusé de qualifier les actes du Hamas de terroristes. Cela a notamment été le cas de la LFI. L’histoire de cela est intéressante, reprenons-la.

Dans un premier temps, La France Insoumise a refusé de condamner directement les actes du Hamas, présentant ces derniers comme une réaction aux actions d’Israël, étant donc imputable à ce dernier. Puis, dans un second temps, ils ont accepté de condamner « clairement » les actions du Hamas … en les qualifiant de crimes de guerre. Même face à la question directement posée, les politiciens ont refusé de parler de terrorisme.

On pourrait se demander : pourquoi ?

La réponse a été évidente quelques jours après, où le groupe politique s’est mis à parler des « crimes de guerres » israéliens. Il s’agissait donc, en fait, de jouer la carte du relativisme: « il y a des crimes de guerre d’un coté, de l’autre aussi … bon, voilà ! »

Cette carte du relativisme a été beaucoup utilisée par les écosystèmes qui se prétendent juste « pro palestiniens » mais pas islamistes.

Plus effrayant, l’AFP s’est mis à refuser de qualifier le Hamas de groupe terroriste. Juste après, elle a été rejoint par Amnesty, dont le dirigeant, Jean-Claude Samouiller, l’a revendiqué avec des justifications hallucinantes. La secrétaire général d’Amnesty International s’est même de facto faite la porte-parole du Hamas en affirmant que « les otages ne peuvent pas être libérés dans les conditions actuelles« , prétendant qu’il faudrait d’abord un cessez-le-feu (ce qui est évidemment du foutage de gueule et tend à obtenir quelque chose pour le Hamas sans rien en échange pour Israël).

Cette entreprise de relativisation a récemment été également reprise par … l’AFP.

Autre

Manon Aubry (cadre LFI) a pu exprimer son soutien au Hamas en ne votant pas une résolution du Parlement Européen condamnant ce dernier le 23 octobre.

Judith Butler, grande figure du féminisme dans le monde, prétend que le Hamas est de gauche

Les manifestations

En acceptant de défiler aux côtés d’islamistes déclarés, les pro-palestiniens vont légitimer ces derniers.

Cette compromission se voit également à l’explosion de délits antisémites. Ainsi, « 887 actes antisémites enregistrés en France depuis le 7 octobre, c’est deux fois plus que sur toute l’année 2022 » (BFMTV) Une femme de confession juive vient d’être attaquée au couteau chez elle à Lyon, une croix gammée étant gravée sur la porte.

Ils parlent comme les islamistes, font ce qu’ils peuvent pour soutenir les islamistes, encouragent les crimes islamistes et défilent avec les islamistes. Mais ils ne seraient pas pro-islamistes …

Comment interpréter l’ensemble ?

Une image assez claire s’extrait de l’ensemble:

  • le Hamas exploite la population palestinienne de Gaza et la radicalise
  • Il l’utilise comme bouclier humain
  • Cela donne des outils discursifs à utiliser pour leurs alliés

On voit se dessiner plus largement un système dont l’un des buts est la déstabilisation de l’occident. Nous avons déjà présenté les deux premiers points avant, développons un peu comment les alliés du Hamas opèrent.

Les alliés du Hamas

Il est possible de soutenir le Hamas d’une myriade de façons. Tout l’enjeu est de soutenir le Hamas sans en avoir l’air. Les méthodes les plus discrètes vont être de participer aux manifestations « pro-palestiniennes » et d’appeler au « cessez-le-feu ». Cela ne demande aucune adhésion explicite aux plans et thèses du Hamas. C’est par exemple le positionnement d’EELV. Dans cette logique, on voit l’importance de fausses associations humanitaires, qui peuvent capter des fonds et les redistribuer, comme nous l’avons vu avec Perle d’espoir, pour renforcer le pouvoir du Hamas (ou le financer directement ?).

Cela crée un premier espace social de sympathisants qui vont servir d’alibi et pourront être radicalisés. C’est là toute l’importance du tissu associatif, qui pourra tenir des propos tendancieux sans engager tout l’écosystème et parler aux gens directement, tisser des relations. Une fois que les cibles sont un peu radicalisées, elles vont être amenées à se rapprocher d’autres associations plus extrêmes, etc. Ainsi, on construit un tunnel de vente invisible (en tant que tel) de l’extérieur.

S’agissant de l’intérêt à participer à cette tragédie, on retrouve toute l’économie du militantisme, il va varier selon les acteurs. Par exemple, pour La France Insoumise, l’intérêt est double: s’attirer le soutien du lobby islamiste et accroitre son emprise sur ses « croyants ». En effet, le parti est dans une stratégie agressive de création d’emprise sur sa base. En les faisant acquiescer à l’ignoble, il rend ses suiveurs complices et les enferme dans une escalade d’investissement. Pour EELV, cette piste est fermée: leur base ne semble pas favorable à l’islamisme [rq: contrairement à Ecolo, en Belgique, visiblement] et la base de son emprise, la prétention à lutter pour l’environnement est trop spécifique. Si elle leur permet de chasser sur le terrain de l’anticapitalisme, elle ne leur donne pas accès à l’ensemble des répertoires auxquels ce dernier, qui est le coeur de la LFI, donne accès. En d’autres termes, si vous pouvez facilement faire le pont entre protéger l’environnement et lutter contre le capitalisme, vous ne pouvez pas faire facilement le bon suivant de « lutter contre le capitalisme » à « lutter contre Israël ».

Le cynisme est maximal pour les militants LGBT et féministes soutenant un régime extrêmement répressif pour les femmes et directement hostiles (ils les jettent du haut des toits) pour les LGBT. S’agissant de leur intérêt, je l’avais détaillé dans un thread du 9 octobre.

Un système de déstabilisation de l’occident

Le Hamas est lui-même l’allié d’autres puissances, comme la Russie, le Qatar (Al Jazeera a fait un gros travail de désinformation anti-israélienne) ou l’Iran, dont il peut sans doute tirer des fonds considérables pour eux … et leurs alliés.

On voit se dessiner tout un système impliquant la déstabilisation de l’occident qui inclut un ensemble de grands systèmes de désinformation, tournant autour de l’écologie (c’est la pseudo-écologie que nous étudions ici), du féminisme, du racisme, du capitalisme et de l’islamisme.

  • Des ONG, comme Amnesty International
  • Des partis, principalement LFI en France, mais aussi le NPA, Lutte Ouvrière …
  • Un tissu associatif
  • Des pays tiers, comme l’Iran ou la Russie
  • Des complices dans des organisations internationales, comme l’ONU.

Ainsi, la pseudo-écologie est un élément d’un ensemble plus large où les différentes désinformations sont connectées entre elles. On observe des tensions (ex: EELV a explicitement condamné comme terroriste le Hamas), mais elles sont contextuelles (ex: EELV a participé aux manifestations « pro-palestiniennes »). C’est un peu comme un grand couple, qui se dispute parfois, mais est d’accord sur le principe de la vie commune. Sauf qu’il s’agit d’un écosystème entrepreneurial tourné autour de la désinformation et de la manipulation.

Ainsi, nous avons la réponse à la question initiale: jusqu’où la pseudo-écologie peut aller ? Elle peut aller jusqu’à faire soutenir une organisation génocidaire exploitant une population fragile et ayant rendu ses dirigeants milliardaires. C’est en fait tellement extrême que la « vraie » réponse est la suivante: il n’y a pas de limite.

Voilà c’est une synthèse qui pose un cadre global.