L’exploitation : un aspect central de l’économie pseudo-écologiste

“It is so easy to be wrong – and to persist in being wrong – when the costs of being wrong are paid by others.” – Thomas Sowell

C’est sans doute l’aspect le plus pervers de la pseudo-écologie : elle se nourrit de la souffrance de ses croyants (et, souvent, du reste de la société au passage).

Les souffrances des croyants

La pseudo-écologie peut générer de la souffrance en mettant le militant en situation :

  • d’être sanctionné physiquement (ex: Sainte-Soline)
  • d’être sanctionné matériellement (ex: Exclusion de l’université, rejet à l’embauche, etc.)
  • d’être sanctionné moralement – socialement, par exemple par l’ostracisme de ses pairs.

Une souffrance extraordinairement rentable

Les souffrances des croyants sont extrêmement rentables pour l’écosystème. En effet elles permettent de se victimiser et de diaboliser les auteurs des violences qui ont été générées.

Par exemple, à Sainte-Soline, les violences pseudo-écologistes ont même pu entraîner la mort d’un manifestant. Cela a été le jackpot pour l’écosystème, qui a pu diaboliser le dispositif policier mis en oeuvre pour les stopper.

Une souffrance encouragée

Les croyants sont encouragés

La souffrance des tiers : une dimension complexe