Total (TotalEnergies), l’un des « diables » de la pseudo-écologie

Total (TotalEnergies) est l’un des « diables » de la pseudo-écologie : l’une des entités incarnant le « mal » et devant être combattue.

Diabolisation

C’est l’une des cibles récurrente des attaques des pseudo-écologistes.

Le président a été cible personnellement par deux attaques assez ignobles : le roman d’Olivier Norek qui présente « le PDG de Total » assassiné et passe l’essentiel du roman à justifier ce geste, ainsi que la manifestation lors de l’AG de l’entreprise où il est mis sur une affiche « Wanted » (qui ont souvent la mention « mort ou vif » …).

Le 16 décembre 2019, les étudiants de l’X s’opposent à l’installation, sur leur campus, du laboratoire de R&D de TotalEnergies.

Total est également ciblé pour sa participation au projet Eacop en Ouganda et en Tanzanie. Ces deux pays voient dans les attaques contre ce projet un « néocolonialisme niant leur souveraineté ». 800 étudiants et diplômés de grandes écoles se joignent aux protestations des ONG. (1)

Ce désamour a deux catastrophes historiques pour lui : l’Erika le 12 décembre 1999

Il s’explique aussi simplement par le fait que c’est la seule entreprise française qui est l’une des plus grandes compagnies pétrolières au monde. On voit mal les militants faire leurs actions au siège d’Aramco.

L’un des leaders de la transition écologique

Pourtant, Total Energies est indubitablement l’un des leaders de la transition énergétique, consacrant 30% de ses investissements, soit plusieurs milliards d’euros, au développement des énergies bas carbone. « Quand le groupe français investit (encore) 3 fois plus dans le pétrole et gaz que dans les énergies bas carbone, Shell y investit 6 fois plus et BP 14 fois plus. » (1)

  • (1) Christine Kerdellant, TotalEnergies : pourquoi tant de haine ? , Les Echos, 18 mars 2024