Nous référençons ici des exemples illustrant clairement l’ampleur de la complaisance pour la biodynamie dans la société française.
https://jardinage.lemonde.fr/dossier-2211-biodynamie.html
La 1ere définition du google : actu-environnement.com
Ainsi, « actu-environnement.com » la définit ainsi:
Type d’agriculture qui intègre les différents aspects de l’agriculture biologique, technique, économique et sociale en s’appuyant sur les principes suivants :
– Recyclage de la matière organique de l’exploitation dans le sol par les techniques culturales, l’utilisation du fumier, lisier et des déchets.
– Transformation de la matière organique par le compostage et utilisation de préparations à base de plantes médicinales pour obtenir une fumure aux effets appropriés sur le sol.
L’agriculture bio-dynamique est une agriculture garantissant la santé du sol et des plantes pour procurer une alimentation saine aux animaux et aux hommes.
Elle accorde une grande importance aux rythmes de la nature et à l’influence des astres, particulièrement des cycles lunaires. En impliquant l’astrologie dans l’agriculture, la biodynamie peut donc revétir un caractère ésotérique.
Le premier pan est relativement neutre (et creux), mais le second paragraphe est stupéfiant : la biodynamie « [garantirait] la santé du sol et des plantes pour procurer une alimentation saine aux animaux et aux hommes. » Ah ? On se demande quelles sont leurs sources … Enfin, le dernier paragraphe évoque en l’atténuant la dimension ésotérique, qui est, comme nous venons de le démontrer, simplement délirante. Que la biodynamie revète un caratère ésotérique n’est pas une hypothétique: c’est son identité même.
Sympathies scientifiques
Complaisance sociologique et relativisme scientifique
https://www.cairn.info/revue-anthropologie-des-connaissances-2018-2-page-289.htm
La richesse du sol et l’INRAE
https://link.springer.com/article/10.1007/s10311-021-01302-y
Affinités organisationelles
Le ministère de l’agriculture …
https://agriculture.gouv.fr/la-biodynamie-credo-des-domaines-gerard-bertrand