Il s’agit d’une partie du livre « Stéphane Foucart et les néonicotinoïdes. Le Monde et la désinformation 1 » .


Au fil de ces argumentaires, j’ai remarqué que l’ensemble contenait une dose très importante de désinformation. Nous avons vu, dans le raisonnement, 48 éléments. Après avoir analysé l’ensemble, 37 étaient désinformatifs, c’est-à-dire faux ou induisant en erreur.

Plutôt que de faire l’analyse exhaustive (qui serait extrêmement longue, ce chapitre faisant déjà une centaine de pages), j’ai creusé 3 blocs qui sont extrêmement importants dans l’histoire qu’il raconte :

  1. La fable des pesticides contre-productifs.
  2. L’illusion de la tardiveté de la réponse réglementaire causée par l’influence de l’industrie.
  3. Le mythe de l’évidence de l’interdiction des NNI sur betteraves.