Il s’agit d’une partie du livre « Stéphane Foucart et les néonicotinoïdes. Le Monde et la désinformation 1 » dans laquelle nous présentons les aspects de l’argumentaire du journaliste commenté. Tous les éléments de ce chapitre sont imputés (que j’utilise le présent ou le conditionnel) au corpus d’articles étudiés.
La première branche de l’argumentaire se décline en quatre axes :
- La quantité et la diversité d’insectes pollinisateurs s’effondreraient, ce qui mettrait en péril l’agriculture. La biodiversité des poissons et des oiseaux déclineraient aussi. (1.I.1. Le déclin de la biodiversité)
- L’utilisation de pesticides néonicotinoïdes (NNI) créerait une pollution durable qui s’étendrait au-delà même des limites des champs et contaminerait de grandes surfaces. (1.I.2. Le danger de la contamination à long terme des NNI)
- De nombreuses études montreraient la responsabilité des NNI dans le déclin de la biodiversité. (1.I.3. Le lien entre le déclin et les NNI)
- Le modèle agricole qui organiserait leur utilisation serait contre-productif et ne profiterait qu’aux industries agrochimiques. (1.I.4. Un modèle agricole contre-productif)