Les médias de la pseudo-écologie
Les médias sont au coeur de la pseudo-écologie : elle s’est construite pour leur plaire et a même développé les siens. Globalement, ils ont tous le même coeur de métier : le marché de l’attention. Si vous avez lu la partie sur la manipulation, vous saurez que c’est un des points forts de notre écosystème : il est professionnel pour choquer, pour marquer émotionnellement les gens. Néanmoins, dans le détail, les médias ne se comportent pas tous pareil vis-à-vis de ce phénomène. On peut identifier plusieurs types de médias, qui ont chacun leurs économies, et, parmi eux, plusieurs niveaux d’implications qui ont eux aussi leurs propres logiques. Les types de médias sont :
- Les organisations de presse (papier, radio, etc.)
- Les journalistes
- S’y rattachent les organisations de journalistes
- Les documentaristes et autres réalisateurs
Chaque groupe se divise entre :
- Les pseudo-écologistes, qui sont clairement des organes de propagandes, comme Reporterre.
- Les alliés, comme Le Monde, Libération et France Inter. Cette alliance peut prendre plusieurs formes. Elle semble plus intense chez Le Monde, dont plusieurs des journalistes, notamment Stéphane Foucart, sont directement des membres de la pseudo-écologie. Leur rôle est important car ils peuvent encore garder l’apparence de neutralité pour le grand public, ce qui a par exemple permis au Monde de « créer » les Monsanto Papers. L’affaire n’aurait jamais explosé comme elle l’a fait si Reporterre l’avait publié.
- Les sympatisants qui vont faire chambre d’écho de manière complaisante de manière opportuniste.
- Les neutres, la plupart.
Les organisations de presse : journaux, radio, chaînes
On peut distinguer les organisations selon leur proximité :
Les journalistes
Il n’est pas toujours simple d’identifier les pseudo-écologistes, cela demande une revue approfondie d’un corpus significatif d’articles.
Il y a assurément Stéphane Foucart et les journalistes de Reporterre parmi ceux-ci.
Les organisations de journalistes
Les organisations professionnelles autour du journalisme ont aussi leur importance.
Par exemple, le CDJM a un rôle important dans la diabolisation d’opposants à la pseudo-écologie.
Les documentaristes et autres réalisateurs
C’est dans cette catégorie qu’on trouve, par exemple :
- Marie-Monique Robin
- Yann Arthus-Bertrand