Il s’agit d’une partie du livre « Stéphane Foucart et les néonicotinoïdes. Le Monde et la désinformation 1 »  dans laquelle nous présentons les aspects de l’argumentaire du journaliste commenté. Tous les éléments de ce chapitre sont imputés (que j’utilise le présent ou le conditionnel) au corpus d’articles étudiés.


La question des NNI mettrait en évidence les sévères lacunes de l’évaluation des risques préalables.

  1. Les tests réalisés pour évaluer les risques sur les pollinisateurs dans le cadre des AMM de phytosanitaires seraient très insuffisants. (1.II.1. Des tests sanitaires insuffisants)
  2. Les politiques publiques seraient tardives et inefficaces. (1.II.2. Des actions politiques insuffisantes)
  3. Les institutions seraient complaisantes, refusant de voir la dangerosité des pesticides. (1.II.3. Des institutions complaisantes)
  4. L’ensemble serait un jeu de dupe, laissant des molécules dangereuses entrer sur le marché et ne réagissant que beaucoup trop tard, laissant l’industrie agrochimique faire ses bénéfices. (1.II.4. Un « jeu de dupes »)
  5. Tout cela se rattacherait à l’emprise de l’industrie agrochimique sur les institutions. (1.II.5. L’emprise de l’industrie agrochimique)